Edité en novembre 2016 chez J'ai Lu. Format : Poche. Catégorie : Détente. Commencé le 27 janvier 2018. Terminé le 18 février 2018. 574 pages. Note : 3/5.
J'avais acheté ce roman pour le début de l'été 2017 et j'avais été séduite par la fraîcheur que dégageait la couverture mais aussi par la douceur que le résumé délivrait.
Mais ce n'est qu'en ce mois d'hiver que je me suis décidée à le lire, peut-être pour faire venir un peu de soleil...
Malgré les attraits précités, durant les 100 premières pages, j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire. Les personnages me paraissaient trop peu détaillés et il n'y avait pas encore de liens entre eux.
Mais au fil des pages, des relations se sont tissées et les personnages se sont de plus en plus livrés sur ce qu'ils étaient, ce qu'ils ressentaient et j'ai enfin pu m'attacher à eux.
C'est un très beau roman remplit de tendresse, de sympathie et d'honnêteté. On y voit naître des amours et des amitiés que l'on ne soupçonnait pas et Anna Gavalda, l'auteure, est très habile avec les mots. Elle nous donne à lire de très beaux dialogues, sincères et touchants, entre les différents protagonistes.
Synopsis :
" "Et puis, qu'est-ce que ça veut dire, différents ? C'est de la foutaise, ton histoire de torchons et de serviettes... Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c'est leur connerie, pas leurs différences..."
Camille dessine. Dessinait plutôt, maintenant elle fait des ménages, la nuit. Philibert, aristo pur jus, héberge Franck, cuisinier de son état, dont l'existence tourne autour des filles, de la moto et de Paulette, sa grand-mère. Paulette vit seule, tombe beaucoup et cache ses bleus, paniquée à l'idée de mourir loin de son jardin.
Ces quatre-là n'auraient jamais dû se rencontrer. Et pourtant, le destin va se charger de les bousculer un peu. Leur histoire, c'est la théorie des dominos, mais à l'envers. Au lieu de se faire tomber, ils s'aident à se relever."